vendredi 30 juin 2017

qu'il est long le chemin ...

... le chemin vers ce qu'on considère comme la réalisation parfaite (et ce, quel que soit notre domaine d'action). Certes, je vois les progrès accomplis en dessin et peinture ces dernières années. Et même si je regarde passer sur internet des quantités de "meilleurs" travaux, cela ne m'avait jamais percuté autant que ces aquarelles "sans prétention" (pour le néophyte) de la BD Anent, nouvelles des indiens jivaros (Alessandro Pignocchi). Elle ne paye peut-être pas de mine, cette BD, mais pour moi c'est pour l'instant la découverte de l'année.


Ce qui est raconté dans le livre m'a beaucoup plu mais n'intéressera peut-être pas tout le monde : c'est le récit de voyage (authentique) d'un jeune ethnologue parti sur les traces d'un de ses aînés, pour comparer la vie avant et maintenant de tribus jivaros dans l'Amazonie équatorienne. Les anecdotes racontées sont intéressantes, donc, mais ce qui m'a vraiment parlé, ce sont les aquarelles qui parsèment le récit ; elles illustrent parfois le récit, d'autres fois témoignent juste d'un émerveillement devant la beauté de la nature (en particulier les oiseaux) et d'une civilisation si différente et fascinante. Elles sont la plupart du temps monochromes. Et elles révèlent une maitrise incroyable de l'aquarelle ! Quelques lavis, quelques traits suffisent à rendre sensible ce monde inconnu.


Après avoir admiré sans réserve, je me suis essayée à l'exercice de la copie pour mieux comprendre cette magie. J'ai découvert des gestes, d'autres me restent indéchiffrables, j'ai découvert aussi la différence que peuvent faire les diverses qualités de papier pour un même trait.
Et donc, le chemin me semble tellement long ! Et enthousiasmant en même temps, puisque jusque là je bricolais mes petites aquarelles intuitives, qui restaient dans la routine.

Et pour me "reposer" de cette recherche, puisqu'après tout, d'une même technique on peut bien faire ce que l'on veut, du plus simple au plus virtuose, tant que le plaisir est là : j'ai décoré mes sempiternelles étiquettes à confiture avec la méthode rapide présentée par l'illustratrice Koosje Koene.




Et pour finir sur cet article décousu qui toune autour des tâtonnements divers et variés en aquarelle, quelques travaux des derniers mois :

Annecy

Cinque Terre, Italie (si je me souviens bien de la photo d'origine)
je voulais travailler sur l'eau, mais en fait c'est très loin d'être réussi comme je le voulais !

dernier en date dont je suis contente, mais sur lequel je vois aussi ce que je veux comprendre et améliorer à l'avenir ...


PS : vous pouvez admirer le travail d'Alessandro Pignocchi sur son blog d'un humour et d'une intelligence rares (mais la lecture antichronologique propre aux blogs n'est pas le meilleur moyen d'entrer dans son univers - il vaut mieux remonter les archives et prendre au début)

mardi 20 juin 2017

défi gravure juin 2017 : géométrie/mosaïque


En retard en mai (parfaitement, je faisais ce qui me plaisait, d'abord !), mais opérationnelle en juin !
Le thème géométrie/mosaïque m'a donné l'occasion de copier des choses vues sur Pinterest -encore une fois (décidément, 2017 ne restera pas dans mes annales comme une année de création débridée, haha !). 
Je parle des pavages de motifs du style "carreaux de ciment". Sans faire des motifs compliqués, j'ai quand même essayé de créer une famille issue de carrés de mêmes dimensions (en fait, raté ... je ne sais pas où le cutter a dérapé, mais au final mes carrés ne s'alignent pas si bien !) pour pouvoir les combiner entre eux, comme les vrais carreaux de ciment.


Je me suis pourtant relativement appliquée, mais j'ai vite vu que ça partait un peu dans tous les sens, donc tant pis : mon style sera résolument primitif, j'assume ! Au final, j'aime vraiment bien ce tapis de motifs un peu ethniques (tu parles d'un concept à la mode qui sert à fourrer tout et n'importe quoi sous une étiquette tendance ...)

Sur le même principe, j'ai fait 2 cartes assorties pour mes parents qui célébraient le même jour quelque chose chacun.


Si je ne m'étais pas jetée sur mes encreurs et mes stylos comme une écervelée pour faire tout ça dans un fol élan créatif, je crois que j'aurais suivi les clichés qui veulent que "le violet c'est pour les filles et le bleu c'est pour les garçons". Heureusement, mon surmoi a fait fi des stéréotypes et voilà le résultat.


Pour l'ovale resté blanc du centre, j'ai posé un cache en chute de papier puis tamponné autour (comme on peut le voir ici)

Ensuite, partie dans la foulée de l'encrage (doigts sales pour doigts sales, autant en profiter) je me suis refait une série de cartes d'avance. J'en consomme pas mal, et parfois à l'improviste c'est pratique d'en avoir quelques unes, même si c'est moins personnalisé.


Rien que des motifs connus, mais j'aime bien que ça resserve !

Et les dernières (attention, éloignez les daltoniens de l'écran, ils risquent de se trouver mal !) :


Le musicien est un peu perdu sur sa page, il manque quelque chose ... mais je n'avais rien qui aille dans mes tampons donc je comblerai peut-être un peu le vide par le futur message ... 



dimanche 18 juin 2017

au jardin : verdure et sauvagerie

Réclamées à corps et à cris (pas moins) par certains, voici quelques photos de l'état de mon jardin mi-juin 2017 ... car figurez-vous que les courgettes sont particulièrement extraordinaires chez moi ;) donc j'ai décidé de vous gratifier de leur vision !


Trêve de blague, s'il y a bien un avertissement à formuler en début d'article, c'est le suivant : ne comptez pas trouver ici de conseils avisés de jardiniers ayant fait leurs preuves, tout chez moi est régi par Sainte Flemme et Sainte Récup.
Enfin, si, soyons juste, vous trouverez au fil des photos 2 astuces (en tout et pour tout) piquées chez les voisins, et totalement efficaces.

La première photo, ci-dessus, vous montre donc un incroyable cerisier qui a 4 ans et croule sous les cerises (on soupçonne que le fait de l'avoir planté plus ou moins sur le trajet d'une canalisation ancienne enterrée aurait un certain rapport avec sa croissance, hum ...). Certes, il faut un peu de place, mais pour nous, planter cet arbre est une réussite totale sur les points qui nous intéressent : pas d'entretien (un tout petit peu de taille quand j'y pense en hiver), il sert aussi de parasol d'une efficacité parfaite, et on peut cueillir son dessert sans se lever de table en ce moment !
Certains pointent le bémol des fruits tombés qui pourrissent et attirent les guêpes : absolument rien à signaler de ce côté-là pour l'instant ...

Pour en finir avec cette photo, l'arrière-plan est occupé par des hortensias. 
Nombreux points positifs :
-adaptés à la région, ils poussent plein nord, sans besoin d'arrosage (sauf période de canicule où, pour tout dire, nous les laissons sécher tranquillement, les fleurs deviennent très moches pour le reste de la saison mais ils repartent toujours l'année suivante)
-on peut les tailler pour limiter leur croissance, mais je n'ai pas le temps tous les hivers et ça n'est pas bien grave ; ça cache le mur gris
-ils sont installés sur une zone qui devait servir aux précédents propriétaires de dépotoir (vieux clous et bouts de verre) mais qui ici permet aux fleurs de bleuir par endroit ! (c'est le fer dans le sol qui fait ça, si je me rappelle bien de ce que j'ai lu)
-cela donne de belles et grosses fleurs à couper, toujours appréciées lorsqu'on les offre


Deuxième photo : tomates en pot et arrosoirs (Bourgogne, XXIe siècle).

Ici, ce qui est à noter, c'est l'expérimentation de la tomate en pot alors que nous avons de la pleine terre pour la même chose !
Problématique : les années précédentes, les tomates en pleine terre avaient tendance à peu grandir, à prendre LA maladie (expression bien du terroir qui nous fait toujours rire - valable quelle que soit la maladie car l'interlocuteur, fin connaisseur, traduira tout seul selon les cas par : mildiou, oïdium, botrytis ...). Et au final, avec 20 pieds de tomates, on mangeait 4 salades à tout casser. Les causes possibles : terrain mal drainé, car terre argileuse et parcelle de potager en contrebas du terrain ; ombrage des arbres voisins etc.

Donc, j'ai mis mes pots (bien drainés ! il ne faut pas rater un seul soir d'arrosage, pour le coup) en plein sud, avec du compost du jardin en bonne quantité.
Les plants ont démarré au quart de tour, ils font 80cm de haut et j'ai déjà des tomates de 5cm de diamètre (alors que plantés le 15 mai).

Et venons-en aux arrosoirs : placés au coin de la porte, pas loin de la cuisine, je les remplis en cours de journée avec l'eau récupérée dans une bassine, placée dans l'évier (eau de lavage de légumes, des mains si pas de savon, de cuisson etc). En un jour, je remplis souvent mes 3 arrosoirs !
Avantages : économies d'eau (même si nous avons un puits), de trajet (arrosoirs au pied des pots), eau à température ambiante, enrichie selon les cas des nutriments de légumes (j'y verse même le jus d'égouttage des conserves de légumes, par exemple !) ... seule l'esthétique laisse un peu à désirer, mais ça ne me chagrine pas tant que ça !

Passons au potager.
Où je fais à peu près tout ce qu'il ne faut pas faire :
-cultiver chaque année les mêmes plantes quasiment au même endroit : pas le choix, je n'ai pas 15 emplacements possibles, et je n'essaye même plus de cultiver tout ce qui est issu de petites graines, elles se perdent dans notre terre argileuse, donc on en reste aux mêmes familles
-serrer les plants : tant pis si je marche sur une feuille de courgette pour aller arroser le reste !
-ne pas pailler : j'ai tenté une année, les mauvaises herbes qui poussent quand même sont plus difficiles à arracher, je trouve


Les pots de plastique perchés ? C'était juste pour bien voir les piquets et ne pas s'éborgner au moment de planter et arroser !


Et comme trop de vert tue le vert, je vous ai fait un plan pour mieux voir tout ça :

(n'est-ce pas que je suis optimiste sur les productions ?!)

Les vieilles tuiles issues de la réfection de la toiture servent de chemin pour être les pieds au sec, très utile !
Groseilles et groseilles à maquereau sont des buissons que je ne peux que conseiller : peu d'entretien et d'arrosage, pas si envahissants, et une belle récolte généralement.

Au verger : Flemme et Récup se disputent le terrain, même si, pour le coup, il faut avoir la chance d'avoir un peu de place.

Ci-dessous au premier plan, on voit un des 6 ou 8 pruniers sauvages qu'on laisse gentiment proliférer. Les prunes crues ne sont pas excellents (acides, trop juteuses) mais en confiture, elles sont extra, et il n'y a quasiment pas de mauvaise année avec les arbres sauvages.
Juste derrière le prunier, on aperçoit (peut-être, avec de bons yeux) un figuier. Issu d'un rejet donné, il va cette année (au bout de 4 ans) faire une jolie production.


Ci-dessous, ce sont le pommier et la ronce que je vous présente. Pommier qui a manqué de taille et dont de nombreuses branches sont hors d'atteinte - MAIS les pommes ne sont pas perdues pour autant, suffit d'attendre qu'elles tombent pour en faire de bonnes compotes !
Les ronces n'attendent même pas qu'on ait le dos tourné pour essayer d'envahir la "pelouse", mais on laisse faire (presque ... on se taille quand même un passage !) puisqu'en fin d'été, on n'a pas besoin de battre la campagne pour cueillir de quoi faire des dizaines de pots de confiture de mûres ! Tous les 2 jours, je fais un tour au jardin, je congèle les fruits récoltés, et au bout de 2 semaines j'ai de quoi faire une belle tournée de confiture.


Pour en finir avec les arbres, voici plus bas un pêcher de vigne donné par un voisin qui désherbait ses plates-bandes et où un noyau avait germé !
Astuce contre la cloque du pêcher : enfermer des coquilles d'oeufs dans un filet (d'oignons par exemple) et le suspendre dans les branches. Très efficace !
Et derrière, un des innombrables sureaux qui prolifèrent (un peu trop) au jardin. On adore leurs fleurs pour infuser le lait des yaourts ou flans, pour ajouter aux confitures et gâteaux. Et leurs fruits pour en faire une confiture, soit seuls soit avec d'autres fruits rouges.


Et enfin, ma haie de framboisiers : patience et longueur de temps ont fait plus que porte-monnaie garni, ici ! De quelques pieds donnés par une collègue, je récupère les rejets année après année pour les replanter dans le prolongement et agrandir la haie. Unique bémol : j'ai bêtement installé cette haie loin du point d'eau en pensant que c'était comme les groseilliers, assez résistant à la soif. Et bien non. Il faut quand même pas mal arroser si on veut des fruits de belle taille !

[Astuce] Quant à la bouteille perchée sur un bâton planté dans le sol, c'est pour effrayer les taupes. Ne me demandez pas pourquoi et comment, mais ça marche ! Une histoire de vibrations dans le sol, je crois ...

vendredi 16 juin 2017

oiseaux d'ici et d'ailleurs

J'ai beau moi-même trouver que ça a un petit côté lassant de dessiner/peindre toujours sur le même thème, les photos d'oiseaux qui me passent sous les yeux sur Pinterest sont tellement belles que je m'accorde "encore un dernier ... encore un dernier ..." et nous voilà avec encore 5 emplumés !

crayons aquarellables

 feutre fin et aquarelle

lundi 12 juin 2017

lingettes lavables en séries

Moins original dans le domaine de la couture écolo, ya pas ! Donc oui, j'ai nommé : les lingettes démaquillantes lavables.

Après m'être dit, à chaque fois que j'en voyais passer sur les blogs, que l'idée me semblait bonne et que je devrais bien en coudre aussi ; je suis enfin passée à l'action. Ce qui m'arrêtait ? Une moyennement bonne raison : je ne savais pas trop quelle matière utiliser pour que ça soit efficace. Et une autre plutôt bonne raison : je ne me maquille pas, haha !


Mais je me suis donc décidée pour une amie qui est devenue adepte du zéro déchet en particulier dans le domaine cosmétique. L'emballage se devait d'être un peu joli ; même s'il est fait de chutes.


Et pour les lingettes, j'ai opté pour de la microfibre d'un côté (chutes de polaire, quoi) et du pilou de l'autre. Du doux dans les deux cas, mais avec un côté qui ne bougera pas du tout aux lavages (polaire). L'amie en question confirme que la microfibre est la matière miracle pour un démaquillage sans lotion démaquillante supplémentaire.

Ayant donc testé pour autrui, j'ai refait une série pour la maison, pour les rarissimes fois où ça peut d'avérer nécessaire. Je n'ai pas tellement soigné le camaïeu de couleurs ! J'ai pioché les premières chutes assez grandes qui venaient dans le bac à chutes !


Pour les ranger, j'ai cousu en 30 secondes chrono une mini pochette : j'ai recyclé 2 mouchoirs en tissus enfantins mis au rebut depuis des lustres, et une cordelette faite par les enfants (à l'époque où ils avaient découvert la technique et s'amusaient à transformer tous mes fonds de pelotes en cordelettes)



Il est pas beau, mon cochon ?!

Au fait, si vous utilisez des lingettes lavables cousues maison, ça m'intéresse de savoir quelle matière vous convient le mieux ...



jeudi 8 juin 2017

défi gravure mai 2017 : écriture


A peine un tout petit peu en retard, voici mes tampons de mai.
Le thème "écriture" avait commencé à me titiller lorsque j'avais gravé les tampons destinés à des envois de mail art. J'avais bien envie d'en refaire toute une série pour moi.
Mais comme je ne maitrise pas bien la gravure de mots (bon, en faisant en négatif, ce n'est quand même pas si difficile, en fait), je suis juste partie de chutes qui trainaient.
Et ce n'était pas si simple de graver parfois en tout petit, sans aucune marge autour de mon bloc de gomme !


Voici donc ma petite famille de mots, y compris une bulle sans mot avec juste un petit coeur !

Quant à l'usage de tout ça ?
... j'avoue que pour une fois, je suis contente de mon idée ! J'ai collé derrière mes formes du ruban aimanté, pour faire ... des magnets !


Et voui, ces fameux magnets qui servent à rien et qui encombrent le frigo, avec tous leurs copains issus principalement de boites de bouffe industrielle pour enfants (on a beau quasiment ne pas en acheter, on a au moins 40 magnets de ce style) sans parler du magnifique magnet-souvenir en plastoc rapporté des 4 coins du monde par les amis en manque d'inspiration !
Comme notre frigo est un peu caché, c'est pas trop grave, l'esthétique de notre demeure est sauve, haha !

Et ça peut même servir à tenir la liste des courses, oui oui !


Et enfin, les tampons m'ont aussi servi à une petite rigolade sur photo de magazine ... je pense réitérer l'idée pour décorer des enveloppes en papier détourné. 


Bonne résolution du défi gravure de mai : cesser de graver des chutes en se disant "si c'est raté c'est pas grave", parce que c'est toujours un peu raté quand on n'a pas les coudées franches en terme d'espace à graver !!

jeudi 1 juin 2017

des fruits et des ailes

Comme chaque année, les vacances de printemps ont sonné le glas de ma routine créative jusqu'à nouvel ordre ... voici donc, en attendant la fin des festivités de fin d'année (derniers cours, bac, corrections et autres réunions pédagogiques), quelques zoeuvres !


Ce grand format est plutôt rare chez moi : je n'aime rien tant que gribouiller des petits broutilles sur quelques centimètres carrés (ma copine-prof se moque assez de moi !). Cette fois-là, pourtant, j'étais arrivée au rendez-vous dessin avec une telle lassitude que j'avais juste envie de balancer tout et n'importe quoi sur un papier avec autant de violence que possible ! Rien de grave, juste une journée fatigante comme on en a tous.
Donc j'ai choisi les pastels gras : avec eux, pas de demi-mesure dans la couleur, pas de précision dans le trait, juste de l'aplat bourrin et du cochonnage de feuille garanti !


Pour le motif, une des photos prise sur ce blog dont je ne comprends pas un traitre mot mais dont les photos m'enchantent.
Ma représentation est plus grande que nature, et j'ai supprimé pas mal d'éléments de la photo d'origine. J'adore comme les fruits de la coupe sont ressortis de tout ça.

Après, j'ai donc continué sur ma lancée de "gros fruits", et j'ai trouvé une photo de grenade que je trouve saisissante. Mais je n'avais pas le même feeling le jour où je l'ai dessinée ! ça se voit dans le rendu moins inspiré, elle ne me plait pas trop ... Disons que de loin, ça rend pas si mal, mais de près, comme on me l'a dit, on dirait presque une coupe de cerveau, beurk !


Et dans un autre style, qui sent en plus le réchauffé, vous vous rappelez de mes papillons à l'aquarelle ? Un an et demi après, ils ont enfin trouvé cadres à leur taille (enfin, presque !) ...

cadres 100% brocante = 2,50€ le tout ! 
(plus un petit coup de peinture pour rendre le grand plus adapté)

étiquettes : kraft de vieille enveloppe, calligraphie


Si vous avez bien compté, j'avais 6 papillons, et seulement 5 ont trouvé cadre à leur taille : le dernier dépasse beaucoup trop du dernier petit cadre blanc en stock ; il faudra donc que je trouve autre chose ...

Sur ce, en juin, amusez-vous bien !

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